01.01.70Lorsque le directeur de la photographie Bill Pope, ASC, a rencontré Jon Favreau pour discuter du dernier projet du cinéaste pour Disney, une nouvelle adaptation du classique de Rudyard Kipling, The Jungle Book, sa réaction a été (comme le film qui a finalement suivi) bien en dehors de la grille. "Ils ont expliqué le processus, et j’ai dit que je suis désolé, mais je ne suis pas la bonne personne pour ce travail. Je suis un directeur de la photographie d’action en direct et je n’ai pas les outils pour travailler dans un espace purement numérique. Dans le sens le plus strict, Pope avait raison. Malgré les nombreux crédits du cinéaste qui projette des projets VFX complexes comme la franchise The Matrix et Spider-Man 2 et 3, The Jungle Book était quelque chose de tout à fait différent. Néanmoins, à la fin du projet, Pope a décrit le film comme « l’expérience cinématographique la plus pure que j’aie jamais eue ». La réponse initiale de Favreau n’était pas si différente de celle de Pope. « La dernière chose que je voulais faire, c’était d’être au milieu de la jungle en train de filmer avec un enfant acteur », raconte-t-il. « De courtes heures sur place et des conditions qui ne se prêtent pas facilement au tournage. Lorsque vous apportez une caméra dans la jungle, il semble beau à l’œil nu, mais à l’écran, il ressemble juste à la salade.

Avatar rencontre Rudyard Kipling comme Bill Pope, ASC, prend une promenade à travers la jungle de haute technologie dans le conte classique pour enfants